Mon nouveau professeur de piano (4/6)

Catégories : Femmes fessées
Ce récit est la suite de : Mon nouveau professeur de piano (3/6)
il y a 2 ans

Pendant que le professeur me faisait retravailler chaque passage, j’avais une pensée compatissante pour Sophie, qui était au coin depuis une bonne demi-heure, et qui devait commencer à disjoncter. Je me recentrais le plus possible sur ce que je devais jouer, j’avais peur qu’il me reproche mes difficultés à me concentrer. Je vidais ma tête et fixais le clavier ou la partition pour chasser les pensées qui tentaient de s’insérer dans mon champ de vision.

Je savais qu’elle allait y passer, et que je bénéficierais ainsi d’un charmant spectacle, mais chaque chose en son temps. D’abord me concentrer sur le cours, et ensuite je pourrais me rincer l’oeil en assistant à la punition de Sophie. Si elle savait à quel point j’étais excitée à l’idée qu’elle se fasse punir.

– ”Clara ! Concentrez-vous !”

Etant donné mon trouble, j’étais terrifiée à l’idée de ne pas réussir à me concentrer, et je repris le contrôle avec une étonnante efficacité. Je me surprenais en voyant avec quelle facilité la partition, le son et le contact avec le clavier reprenaient place dans ma tête.

Le travail sur le Beethoven était terminé. Je relâchais immédiatement la pression et une vague de pensées plus impures les unes que les autres ressurgirent. Un frisson parcourut tout mon corps et mon bas ventre se mit à chauffer. Je n’en pouvais plus, la pression entre mes jambes devenait insoutenable, je devais me forcer de ne pas me frotter contre la banquette du piano.

J’étais sur le point de me lever quand mon professeur posa une partition sur le pupitre. Pourquoi n’y avais-je pas pensé ! Il y a une épreuve de déchiffrage au concours, il était normal que mon professeur vérifie si je savais le faire.

J’avais déjà un premier prix d’accompagnement et un premier prix de solfège à l’époque, mon niveau en déchiffrage était tellement loin au dessus de celui du concours que je n’avais jamais travaillé ces épreuves. J’en avais même oublié qu’il fallait déchiffrer une page de musique d’un niveau étonnament bas.

Visiblement mon professeur n’était pas au courant, alors c’était le moment de l’impressionner. L’album pour la jeunesse de Schumann était un excellent choix pour travailler le déchiffrage, j’utilisais déjà le même avec mes élèves.

– “Vous avez trente secondes pour le regarder, ensuite vous jouez toute la page sans vous arrêter.”

Je n’avais bien évidemment pas besoin de ces trentes secondes pour me préparer. Mon professeur ne savait pas qu’il y avait un décalage considérable entre mon niveau de solfège et de piano, et que ce qui me bloquait dans mes concours, c’était seulement mon niveau technique, je déchiffrais déjà comme une accompagnatrice professionnelle.

J’avais complètement décroché mentalement, mais je n’avais pas besoin de me concentrer pour jouer une pièce aussi élémentaire. Pendant que la trotteuse parcourait les trente secondes, je pensais à tout sauf à me concentrer sur le déchiffrage. Je me demandais à quoi ressemblerait le morceau si on changeait les altérations, ou encore la signature rythmique, si on décalait les deux mains, ou si on transposait une des deux mains.

Que se passerait-il si j’essayais ?

Je commençais à jouer le morceau en enlevant tous les dièses. C’était ignoble, j’avais tellement ralenti et mis de pédale, que Schumman ressemblait soudainement à du Satie, mais en très moche. Je mordis ma lèvre inférieure pour feindre une confrontation à une difficulté insurmontable. Il m’arrêta au bout de quelques mesures.

– “Deux dièses, Clara, il y a deux dièses, comme sur le Brahms tout à l’heure.”

Je reprenais mais en ne mettant les dièses qu’à la main droite, c’était encore plus inaudible.

– “A la main gauche aussi !”

Je réagissai à l’instruction immédiatement en tranposant toute la main gauche un demi-ton en dessous. C’était encore plus ignoble à écouter, pour faire un clin d’oeil à la musique de Darius Milhaud, j’enlevais la pédale, accélérais brutalement et commençais à mettre des faux accents pour imiter de la musique latine. Et cela tout en essayant d’adopter une expression de visage la plus crispée possible.

– “Arrêtez !”

Mes doigts se pétrifièrent immédiatement. Son intonation m’avait glacé sur place. Il était resté très calme avec Marion et Sophie, et en percevant cette irritation dans sa voix je sentais tout de suite que j’étais allée trop loin.

– “Levez-vous.”

Il y avait une telle froideur dans cet ordre que ma gorge se serra. Je me levai, ma robe collée à ma peau. Il reprit avec une colère retenue :

– “Ca ne va pas du tout. Vous ne pouvez pas vous présenter à un concours avec un niveau de déchiffrage pareil.”

Il commençait à avoir du mal à se contenir :

– “Comment est-ce que vous faites pour donner des cours ?”

La colère qui émanait de sa question me fit baisser les yeux. Je ne savais même pas si cette question demandait une réponse. De toute façon ma gorge était tellement serrée que je ne pouvais pas produire le moindre son. Il répéta en haussant la voix :

– “Comment vous faites ?”

Je n’arrivais pas à rassembler mes mots, je ne savais plus du tout quoi répondre. Il me faisait complètement flipper. Je savais que j’allais au devant de problèmes, mais je ne m’attendais pas à ce que mon déchiffrage le fasse ainsi sortir de ses gonds. Je n’avais pas du tout réfléchi à ce que je pourrais répondre face à de telles questions. Devant mon incapacité à m’exprimer il reprit :

– “Comment vous avez pu arriver à un niveau pareil en…”

Il s’était arrêté net au milieu de la phrase. A voir son expression je me sentis très gênée. Il m’avait peut-être démasqué. Peut-être avait-il compris que je l’avais fait exprès. Il avait peut-être saisi que je brûlais de goûter à ses punitions. Pourquoi n’avais-je pas été plus discrète. J’avais tellement honte, et s’il se rendait compte que ses punitions m’excitaient ?

Il reprit le dessus instantanément sur sa colère, et s’adressa calmement à Marion.

– “Marion, vous pouvez vous rhabiller et sortir du coin. Clara, vous allez à sa place.”

Une vague de chaleur me traversa brutalement. J’avais à la fois envie de m’enfuir, et envie de me laisser emmener et obéir. Ces contradictions me paralysaient sur place, les battements de mon coeur étaient tellement forts que je les sentais dans tout mon corps : dans ma tête, jusqu’au bout des doigts, et entre les jambes.

– “Maintenant !”

Je m’exécutais. Je regrettais amèrement d’avoir cherché les ennuis avec lui, mais j’étais excitée comme une puce à l’idée de goûter à ce qu’avait subi Marion. Au moment où je me retournais pour me diriger vers le coin, Marion entreprenait un atterrissage en douceur dans un fauteuil, ses larmes avaient séchées mais elle avait encore les yeux rouges.

J’arrivais dans le coin, je trouvais ça infantilisant, mais le fait de sentir la contrainte me faisait expérimenter une sensation toute nouvelle, j’en avais le vertige. J’avais toujours aussi chaud, je sentais une humidité contre toute ma peau, et je ne savais pas à quoi était due celle qui persistait sous les plis de ma robe. Je sentais mon visage se relâcher, et mon corps se laisser aller à une sensation de bien-être qui aurait été impossible à cacher si quelqu’un avait été face à moi.

– “Sophie, venez ici.”

J’étais surprise par le calme avec lequel il s’était adressé à elle. Je remarquai en passant que j’avais réussi, dans le même cours, à être l’élève à l’avoir le plus satisfait, et le plus mis en colère. J’entendais ses pas sur le parquet, elle traversa la pièce et elle s’immobilisa à côté de lui.

– “Vous avez encore perdu du temps en ne respectant pas mes indications. Et vous m’avez aussi fait perdre du temps. J’espère…”

– “Mais je voulais…”

– “Non ! Vous n’avez rien à dire ! Et vous n’avez pas à m’interrompre !”

Il n’était pas comme ça tout à l’heure, même s’il avait retrouvé une partie de son calme, je sentais qu’il était beaucoup plus irritable.

– “Soit vous travaillez selon mes instructions, soit vous allez travailler avec quelqu’un d’autre ! Combien de fois il faudra que je vous prouve que si vous ne travaillez pas comme je vous l’ai demandé, vous perdez du temps ? Combien de fois il faudra encore que je vous punisse pour ça ?”

Elle ne répondait pas, mais je sentais qu’elle était vexée comme un pou. Elle était persuadée qu’elle avait eu une bonne idée, et je savais qu’elle aurait beaucoup de mal à reconnaître qu’elle s’était trompée. Malgré la preuve accablante qu’il lui avait donné, il était trop difficile pour elle de reconnaître qu’elle avait eu tort.

– “J’espère bien que c’est la dernière fois Sophie.”

Je n’entendis pas de réponse. Peut-être faisait-elle des signes. Si je pouvais prendre le contrôle de son corps, je l’obligerais à répondre correctement aux questions. Mais je l’imaginais très bien lui adresser un regard fier et plein de défi, tout en n’osant rien dire de peur d’aggraver la situation.

– “Si vous comptez recommencer, vous pouvez aller effacer votre nom du tableau, prendre vos affaires et partir.”

Je l’entendis répondre d’une voix inexpressive et étonnament posée :

– “Je vais faire comme vous le demandez Monsieur.”

– “Vous êtes certaine de votre choix ? Vous savez ce qu’il va se passer si vous voulez rester ?”

– “Oui Monsieur.”

Elle avait répondu sur un ton monocorde, comment faisait-elle pour rester aussi impassible devant lui ?

– “Alors installez-vous.”

Des images horribles me tournèrent dans la tête, je l’imaginais à la place de Marion, culotte baissée, penchée sur la table, l’intimité visible par une spectatrice placée au bon endroit. Je revoyais mentalement la main du professeur lâcher le crayon pour prendre la baguette, et même si j’avais peur d’être à sa place, je sentais mon coeur battre très fort dans ma poitrine.

Je sentais une gêne dans mon bassin, j’avais envie de bouger et je tentais l’impossible pour rester immobile. Le premier sifflement de baguette me recentra sur la punition qui se déroulait dans mon dos. Le claquement du bois sur la chair me clouait sur place, effrayée et excitée. Je me demandais quelle pouvait être la sensation que l’on ressentait en la recevant sur les fesses.

Sophie n’émettait aucun son. Je sentais ses lèvres se serrer pour bloquer toute expression. Je ne l’avais jamais vu en petite tenue, mais j’arrivais à me représenter ce qu’il se passait. J’imaginais ses fesses rayées par la baguette, chaque coup la poussant dans ses retranchements en lui dessinant de belles lignes rouges. Les coups de baguette me faisaient sursauter, je sentais à la puissance des impacts que le professeur était en colère contre elle et contre moi. Je commençais à entendre des bruits de gorge trahissant les efforts qu’elle faisait pour cacher la douleur.

La baguette continuait à la punir sans faiblir, et j’entendais au bruit de sa respiration qu’elle se retenait de pleurer. Le bois de la baguette lui arracha soudain une voyelle, malgré tous ses efforts pour le cacher, elle se démasqua d’un seul coup en nous montrant à quelle point la douleur la submergeait.

Sa voix m’avait interpellé, je me demandais ce que l’on ressentait lorsque, après s’être retenu aussi longtemps, on lâchait prise subitement. Je ne savais pas si le dépassement de ce point où l’on ne pouvait plus se cacher était une forme de soulagement. J’étais en fusion depuis la punition de Marion, et je me retenais, je faisais tous les efforts possibles pour le cacher et me contenir. Ce lâcher prise de Sophie entrait en résonnance avec cette envie irrépressible de me laisser aller.

Il attendait longtemps entre chaque coup, je me doutais qu’au suivant , elle parviendrait encore moins à cacher sa douleur. Lorsque le claquement se fit entendre, j’eus la confirmation. Elle n’arriva pas à contenir la voyelle et prit la parole :

– “C’est bon Monsieur, j’ai compris. Je vous promet je vais faire ce que vous demandez.”

Elle s’était exprimée avec un calme qui était complètement en décalage avec les voyelles qui avaient trahi sa douleur. Il lui répondit avec un ton calme et autoritaire :

– “Vous restez à plat ventre. Vous avez désobéi alors vous prenez votre punition.”

Je commençai à sentir une angoisse dans sa réponse :

– “Monsieur, s’il vous plaît ! C’est bon j’ai compris !”

– “Il en reste dix, alors prenez-les sans discuter.”

– “J’ai trop mal Monsieur, c’est bon je vais obéir !”

– “Vous comptez encore me faire perdre mon temps à discuter ? Vous en voulez vingt de plus ?”

Elle ne répondit pas, ce que j’interprétais comme un consentement. Il reprit très calmement :

– “Maintenant comptez.”

Je ne savais pas pourquoi la contrainte me faisait un tel effet. Pour une raison que je ne m’expliquais pas, le fait de sentir qu’il n’y avait pas d’échappatoire me produisait des picotements dans tout le bassin. Je mourrais d’envie de savoir quel effet cela faisait de se voir ainsi imposer une punition.

Le professeur espaça les derniers coups. Chacun claqua très fort et me fit tressaillir, déchirée entre la crainte et la curiosité. Sophie mettait beaucoup de temps à énoncer le numéro faisant écho à chaque coup. Je me demandais si c’était pour ralentir le rythme de la punition, ou pour se reprendre en main et compter en cachant la douleur.

Malgré le temps qu’elle prenait et le calme avec lequel elle s’efforçait de compter, j’entendais de mieux en mieux la douleur transparaître dans sa voix. Le dernier coup lui arracha un son sans équivoque. Je sentais déjà un picotement dans tout le corps, mais pour ce dernier coup je dus me retenir de toutes mes forces pour rester immobile. Il ne fallait surtout pas bouger, comme j’étais certainement la suivante, l’attention du professeur allait bientôt se tourner vers moi.

– “Clara.”

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